Magnifique attrape-rêve entièrement fait main, avec une majorité de matériaux de récupération (bois, corde, galets de verre incolore irisé, perles de rosée en plastique et fil d'acier galvanisé)
Idéal en extérieur ou le long d'un mûr, il gagne en charme quand le vent fait tournoyer légèrement ses ailes...
Ses toiles sont ornées de perles et galets de verre irisé et de gouttes de rosée, un bouton de nacre noue le dernier coeur de toile et l'ensemble s'achève sur un "arbre de vie" qui ramènera tout cauchemar et soucis dans les entrailles de notre Mère Nourricière .
Tissé comme une toile d'araignée, il a pour fonction de capter les cauchemars en les emprisonnant jusqu'au petit matin au coeur de sa toile ou dans les perles ou pierres qui l'ornent. Au lever du jour, les rayon du soleil les détruiront. C'est pourquoi il faut de préférence les installer près d'une fenêtre ou en contact avec les rayons du soleil. Les doux rêves, quant à eux, peuvent rejoindre l'esprit de la personne endormie par les plumes ou pampilles fluides.
Objet de tradition indienne, il serait inspiré de conte tel celui-ci:
C'est l'histoire de Asibikaashi (l'araignée) qui aida Wanabozhoo à ramener Güzis (le Soleil) à son peuple. Asibikaashi construisait sa toile chaque nuit avant l’aube de façon à pouvoir capturer les premiers rayons du soleil. Si vous êtes debout à l’aube, regardez sa toile et vous verrez les rayons du soleil scintillant sur la rosée du matin. Asibikaashi prenait aussi soin des enfants des hommes, tissant sa toile pour les protéger des mauvais rêves comme elle le fait encore aujourd’hui. Quand le peuple Ojibway se dispersera, Asibikaashi eut beaucoup de mal à tisser sa toile au-dessus de tous les berceaux, alors mères, soeur et grands-mères apprirent elles aussi à tisser des toiles magiques pour protéger leurs enfants. Elles confectionnèrent les cerceaux avec des baguettes de saule rouge et utilisèrent du tendon de cerf pour tisser la toile. Les capteurs de rêves avaient toujours une forme ronde qui représentait Güzis, le soleil. Sa toile pouvait retenir les cauchemars (ou bawedjigewin) ne laissant passer que les rêves. Vous remarquerez qu’il y a un petit trou au centre de la toile car c’est par là que les bons rêves passent.
Les cauchemars quant à eux restent accrochés à la toile et disparaissent avec les premiers rayons du soleil. Les capteurs de rêves avaient alors 8 points de contact avec le cerceau en référence aux 8 pattes de l'araignée. Traditionnellement aussi, on place une petite plume pour que celle-ci bouge dans l’air. Un bébé qui peut observer la danse de cette plume apprendra ainsi les mouvements de l'air.
Si jamais vous rencontrez Asibikaashi, l'araignée, n'en ayez pas peur, au contraire protégez et respectez ce petit insecte.
(texte extrait de la page https://itancansioux.wordpress.com/2008/10/01/le-capteur-de-reve/)
Longueur totale des mobile : 87 cm, avec lien d'attache +ou + 30cm
attrape rêve n°1: 30 par 21 au plus large, en forme de goutte
n°2, inclus ans n°1 : 12 cm de diamètre
n°3: 16 cm de diamètre
n° 4 : ovale de diamètre de 12 cm par 9 cm
pendent en métal, "arbre de vie" , 11 par 7 cm, , 15 cm avec goutte de verre
140 gr